"... Le morceau éponyme, Mollo, est en effet un hymne à la lenteur et au lâcher prise : joué à la guitare slide, c’est une véritable invitation à la sieste, dans la moiteur du bayou. Plus mélancolique, Cet été-là est une ballade qu’aurait pu composer Maxime Le Forestier, tandis qu’Au violon propose une galopade dans les plaines du far-west, sous l’archet de Mathias Guerry (violoniste que les Poitevins avaient pu entendre lors du concert de Nicolas Moro avec Sanseverino, l’été dernier, au parc de Blossac).../ Laurent Favreuille" (www.lanouvellerepublique.fr)