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The Chemical Brothers présentent leur nouvel album For That Beautiful Feeling. Comprenant les singles No Reason et All Of A Sudden, For That Beautiful Feeling est le dixième album de l'extraordinaire carrière de l'un des groupes de musique électronique les plus influents de tous les temps. Composé de 11 titres exclusifs, dont trois featurings avec Beck & Halo Maud, ce nouvel album marque le retour en force de Ed Simons et Tom Rowlands, quatre ans après leur dernier album.

"Le disque des retrouvailles. Taj Mahal et Ry Cooder font à nouveau cause commune en 2022 et publient leur premier album de collaboration depuis 57 ans, depuis le premier album de leur groupe depuis longtemps dissous, les Rising Sons. Le disque s'appelle "Get On Board". "The Songs Of Sonny Terry & Brownie McGhee" est le sous-titre qui en dit long : le musicien de blues et multi-instrumentiste et le guitariste virtuose, chanteur, compositeur et producteur se consacrent ici à deux icônes du blues du Piedmont, dont la musique les a accompagnés et marqués depuis l'adolescence..." (www.bear-family.fr)

Le sextet rock gallois arrive avec un premier album aux orchestrations foisonnantes et aux harmonies vocales intemporelles.
Le Royaume-Uni nous offre régulièrement son lot de nouvelles pépites indie rock exubérantes mais depuis cet été et la sortie d'un EP nommé Real to Reel, c'est vers le Pays de Galles que les fans du genre se sont tournés, électrifiés par le son et les mélodies sans âge du groupe CVC. Formé en 2019, Church Village Collective tire son nom du lieu où le groupe s’est formé, au sommet d’une colline des Welsh Valley, à seize kilomètres du nord de Cardiff. Le chanteur Francesco Orsi, les guitaristes-chanteurs David Bassey et Elliot Bradfield, le bassiste Ben Thorne, le batteur Tom Fry et le claviériste et le percussionniste Daniel ‘Nanial’ Jones cisèlent à l'unisson et avec un humour so British une musique aux multiples influences et hors du temps.

Enreg. [Roquebrun](34) (Studio de la Moria)

Rock français festif

Enreg. Paris (La Gaïté lyrique)(Studio Pigalle)

Jazz fusion / Brésil

Avec son irrésistible mélange de musique électronique puissante et de sonorités arabes et moyen-orientales, le groupe parisien a enflammé les scènes et conquis les publics français et internationaux suite à la parution de son premier album Musique de France (2016). Dans cet opus Jdid ("nouveau", "neuf" en arabe), le groupe amplifie le dialogue entre les rives Nord, Sud et Est de la Méditerranée (la rive Nord s'étendant, dans le cas présent, aux berges de la Tamise, de la Spree et de l'Hudson... ). Acid Arab y emmène son vocabulaire dancefloor en voyage, avec la participation d'invités triés sur le volet.

TELERAMA 3654 (01/2020)(4 clés)

A 23 ans, sous la chaleur torride des musseques de Luanda, l'enfant Zeca a déjà absorbé la tonique Kamundongo dans la composition et l'interprétation du folklore traditionnel, la semba, qu'il élèvera sur les scènes du monde entier ! Il a fondé le groupe Kissueia et a participé à de nombreux autres projets, mais c'est au sein de Kintais qu'il a vécu intensément la profonde culture musicale de l'époque et a acquis l'identité unique qu'il a développée tout au long d'une carrière qui totalise plus de 400 chansons et qui est sur le point d'atteindre son 50e anniversaire. Kintal da Banda est un album de chansons inédites de Bonga et vous ramène aux expériences qui ont façonné son parcours et allume aujourd'hui dans votre mémoire la même flamme qu'il portait avec lui sur scène dans les moments uniques de ses innombrables concerts. Sur Kudia Kuetu, le premier single de l'album en duo avec la chanteuse française Camélia Jordana, Bonga souligne l'importance de la gastronomie traditionnelle comme appréciation de l'essence des racines angolaises. Enregistré entre Lisbonne et Paris, et édité par Lusafrica, Kintal da Banda est produit par l'excellent guitariste Betinho Feijo, le directeur musical qui l'accompagne depuis 28 ans.

Jazz& blues "vintage"

Techno-pop, electro-pop, electro-punk, Electronic Body Music (EBM)

Avec ce deuxième album, porté par les titres Bonjour merci et Petit à petit, le groupe clame son optimisme, son besoin d'être en mouvement et d'avancer, sans oublier ses rêves d'antan et ses valeurs !

"Parce qu’il manie l’harmonica comme personne et que c’est avec la chose à la bouche qu’on l’a le plus souvent vu ou mis en avant ces dernières années (notamment via cette belle collaboration avec Ben Harper), on avait presque oublié que Charlie Musselwhite n’était pas exactement un manchot quand il empoignait une guitare acoustique, à défaut de prétendre au statut d’expert de la six-cordes. Ce nouvel album pour Alligator tombe donc à point nommé pour nous rappeler combien le mariage des deux instruments demeure imparable, à plus forte raison quand il est “recélébré” avec autant de justesse par le natif du Mississippi, et toujours au service d’un blues rootsy à souhait, lancinant et poussiéreux (au bon sens du terme), en mode “bons baisers de Clarksdale”… / Xavier Bonnet" (www.rollingstone.fr)

"Nduduzo Makhathini a grandi dans les collines luxuriantes et accidentées de uMgungundlovu en Afrique du Sud, un paysage périurbain dans lequel la musique et les pratiques rituelles étaient liées en symbiose. L’église a également joué un rôle important dans son intérêt et sa compréhension de la musique, puisque dans ses jeunes années, il allait d’église en église à la seule recherche de musique. Les légendes du jazz sud-africain sont également de véritables influences, et plus particulièrement Bheki Mseleku, Moses Molelekwa et Abdullah Ibrahim. Professeur et chercheur, Makhathini est le chef du département musique de l’université de Fort Hare, dans la province du Cap-Oriental. Il s’est produit à de nombreux festivals réputés tels que le Cape Town International Jazz Festival et l’Essence Festival (à la Nouvelle-Orléans et en Afrique du Sud), et en 2019 il a fait sa première apparition au Blue Note Jazz Club de New York. C’est d’ailleurs sous le sigle bien connu du label new-yorkais qu’il signera son nouvel album "Modes of Communication : Letters from the Underworlds", attendu pour avril 2020. « Beneath The Earth » est le tout nouveau single annonçant sa sortie..." (pan-african-music.com)

Enreg. par Goffredo Plastino de 1983 à 1993

Au long des dix titres de l’album, Batida injecte des éléments personnels et biographiques et questionne les changements sociaux en relation avec l’histoire. Pour ce faire, il explore différents genres musicaux, de la musique afro dancefloor au kazukuta (pas de danse), en passant par la semba house (" semba » est une danse individuelle d'un homme devant une femme), le hip-hop, la benga, etc. Alternant entre chansons et morceaux instrumentaux, Batida puise son inspiration dans ces voyages entre Luanda, évora, Berlin, Recife, Londres et Lisbonne (ce qui explique ces influences variées). Neon Colonialismo, le premier album de Batida depuis 2014, cherche ainsi « à faire danser, réfléchir et probablement aussi sourire » . (https://pan-african-music.com/batida-neon-colonialismo/)

Quand deux esthètes pop se rencontrent, l'élégance est forcément au rendez-vous. Christophe Vaillant, arrangeur et orfèvre pop derrière le SuperHomard, s'est associé avec l'Australien Maxwell Farrington pour un album orchestral sous l'égide des grands crooners tourmentés Lee Hazlewood, Frank Sinatra ou Scott Walker. Autant de mythes, autant d'élégance. Et c'est cette élégance, cette pop orchestrale, ces arrangements subtils, ce chant velouté que l'on retrouve tout au long de ces compositions.