27 DANCE (s)

"Garry Cobain et Brian Douglas sont les deux têtes chercheuses du duo électronique Londonien. Fondé en 89, le groupe s'investit activement et promptement dans les mariages technologiques, s'intéressant notamment à l'animation par ordinateur ou à l'internet. Dans leur spatiolab, les frontières ambient, trip hop ou jungle se liquéfient dans des aurores boréales."xsilence.net

Douzième album studio pour le groupe de Philadelphie toujours emmené par son batteur emblématique Questlove. Undun est un album-concept retraçant la vie tragique de Redford Stevens, un personnage de fiction dont le nom a été inspiré d'une chanson de Sufjan Stevens intitulée Redford.

House, acid house, deep house, hard house, tek-house, garage, UK garage, 2 step

L'allemand est de retour avec cet album qui, contrairement au précédent (Zukunftsmusik, 2017), revient sur les glorieux débuts de la House à Chicago, Detroit et New York. Les références évidentes sont les héros qui ont fait vibrer le dancefloor à partir de la fin des années 80, c'est-à-dire Ron Hardy, Frankie Knuckles et Lil' Louis de la scène house de Chicago, ou les légendaires émissions de radio de The Electrifying Mojo de Detroit, Larry Levan ou les disques Nu Groove du début des années 90. House music box comprend huit nouveaux bangers captivants produits par le super gigolo DJ Hell. Le disque n'est pas seulement un album conceptuel sur les débuts de la musique de club, mais aussi une leçon d'histoire dansante. L'oeuvre de DJ Hell se caractérise par son désir artistique d'avoir une approche différente sur chaque album, tandis qu'en même temps les constantes fournissent une cohésion intérieure et des références croisées.

Cette bande originale non officielle est issue directement du cinéma personnel de l'artiste, elle fait corps avec la série légendaire : album-long métrage, collection de séquences filmiques, son Miami vice évoque intimement les figures de Sonny Crockett et Ricardo Tubbs, leurs enquêtes dans les milieux interlopes et la jet set floridienne. Le précurseur de l'abstract hip hop embarque l'auditeur dans une odyssée sonore. Il enchaîne les morceaux comme les planches d'un script, alternant l'atmosphère insidieuse de la trap music et feelings plus jazz (Love theme, Tubbs theme). Très présents, les morceaux plus électro, dans la lignée de son précédent album Seven : The chase suinte la scène d'action haletante et les beats footwork de Move that dope ou Welcome to Little Haiti reflètent la riche dynamique nocturne de la ville. Invité de marque, MC Eiht pose son rap sur Music to drive by et Street life.

Lyre le temps a sorti son nouvel album sur son propre label French Gramm. L’occasion pour Urbstreet (http://urbstreet.fr/) de vous faire découvrir ce trio explosif qui a de l’énergie à revendre.
De l’énergie, justement, c’est ce qui se dégage dès la première écoute de l’album. Le savant mélange hip-hop, électro et jazz swing a le don de vous emporter sans plus attendre dans l’univers « hors du temps » de LLT. Le groupe n’est pas fixé sur des codes spécifiques d’une période ou d’un genre musical mais au contraire, transporte sans cesse son public de l’un à l’autre. Lyre Le Temps fait partie de ces talents qui vous donne cette irrésistible envie de bouger, et pas un des morceaux de l’album n’y échappe comme l’excellentissime Going on en featuring avec Beat Assaillant.

Hip Hop, Rap

House

Rap Français

DJ / Electro-pop

New Jack, R'nB, Nu-soul

House

A 25 ans, Kungs est le nouveau visage de la musique électronique française. Il dévoile son 2e album studio célèbrant le renouveau de la fête, l'envie de se rassembler, de danser et de séduire. En d'autres termes, une ode à la vie. Avec son tube international This Girl, extrait de l'album Layers (2016), Kungs devient l'artiste français le plus shazamé au monde. Il confirme ce succès en livrant le tube de l'été 2021, Never Going Home, single certifié platine qui se classe nÊ»1 de l'airplay et 4e du classement single en France. Fort de ce succès hexagonal, le petit prince de l'électro française dépasse encore les frontières, séduit les pays européens allant jusqu'à conquérir les radios dance U.S.

Avec ce troisième album bien moins sombre qu’il voudrait nous le faire croire, le rappeur-chanteur navigue entre rap, pop-rock et chanson française, servi par une envoûtante force d’interprétation.
« Faut être un sacré con pour me dire “relax” / Dites à mon destin de mordre le tee / Oh je vais lui refaire la gueule au fer 7. » Chanter la vie comme une balle de golf qu’il faut frapper très fort pour avoir une chance de s’en sortir… à moins que, peine perdue, ce soit la vie qui nous frappe très fort sans qu’on puisse rien y faire ? On ressort de l’écoute du troisième album du Parisien Antoine Valentinelli, alias Lomepal, 30 ans, à la fois lessivé et heureux. Il y a de quoi se sentir consolé. De ses chansons tourmentées, naviguant avec aisance entre rap, pop-rock et chanson française, et hésitant entre cynisme et auto-dépréciation, on retient en premier lieu un immense appétit de vie. [...] Erwan Perron (09-2022) (Télérama)

"Le label Strut déçoit rarement. Après avoir édité des recueils destinés à vous propulser près des étoiles, la filiale de !K7 propose son nouveau projet. Une nouvelle série de compilations, bien évidemment. Baptisée "Disconnect", elle nous réserve les collections secrètes des leaders du DJing. QuÂ’elles soient destinées aux dancefloors ou pénètrent le côté obscur de la force. Leo Elstob,alias Leo Zero est le premier sur la liste. Un DJ et producteur notoire depuis plus de 15 ans. Co-fondateur des nuits deep house Soulsonic, lÂ’Anglais est devenu lÂ’un des remixeurs les plus sollicités en Angleterre. Normal donc que Strut lui fasse confiance. Et normal aussi que Leo Zero soit responsable dÂ’un set explosif à faire suer les dancefloors. "Disconnect : Leo Zero" navigue sur des eaux houleuses et propose un set combinant afro, disco, reggae, punk... Elstob signe donc une présentation impeccable. LÂ’éclectisme y est de rigueur sans que jamais Leo ne se perde. Sûrement le signe dÂ’un grand DJ. Vazyyy Strut ! On en veut encore !" (www.musiczine.net).

"... On ressort transpirant de lÂ’écoute du "Fabric 55" de Shackleton, mix dubstep convoquant les démons dÂ’une transe primitive. Il faut pourtant bien avouer quÂ’il a eu un culot monstre le Sam Shackleton. Selon les codes en vigueur, quand on propose un mix, on disparaît derrière les oeuvres des autres, on est juste là pour démontrer sa science du mix. Mais le père Sam, il sÂ’en fout des traditions séculaires. ... il a préféré mixer uniquement ses productions.... On retrouve le dubstep si particulier de Shackleton, fait de basses élastiques, dÂ’échos permanents, reniant toute mélodie pour uniquement se concentrer sur lÂ’aspect tribal. Le pire dans lÂ’affaire cÂ’est quÂ’en 22 titres, il arrive à se renouveler sans cesse, à ne jamais se stabiliser... Ce Fabric 55 explose tous les schémas du genre et propose un trip fascinant dans un dubstep moite, puissant et enfumé, vous mettant littéralement en transe. Brillant ! / B2B" (www.chroniqueselectroniques.net).