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Enreg. [Bagnolet (93)] (Studio OneTwoPassIt), 04/2019

"... Un conseil, sur le parcours, de ce long voyage en quête d’un meilleur, d’un plus juste, d’un humain, mettez dans votre lecteur CD ce disque de Grandsire et les précédents. Elle vous donnera le la et la clef de toute la gamme / Michel Kemper" (www.nosenchanteurs.eu)

Musiciens détaillés sur le livret

Persona. Ce mot latin désignait le masque de l'acteur du théâtre antique au travers duquel (per) passe le son (sona). A travers ces 13 titres, Lise interroge la partie visible et audible du rôle que chacun joue pour trouver sa place dans ce monde, explorant les fêlures, les espoirs, les engagements et les joies de différents moments de la vie.

"Le titre du deuxième volume de la collection constitue, lui aussi, tout un programme (puisé dans le titre de The Mekons, 32 Weeks) : Punk 45: There Is No Such Thing As Society. Get A Job, Get A Car, Get A Bed, Get Drunk ! Underground Punk in the UK 1977-81 (vol. 2). L'occasion de découvrir une palette assez riche de la scène punk (The Mekons, The Jermz...) et post-punk (Eric Random...) britannique, trop souvent éclipsée par les coups d'éclat des Pistols, Clash et Buzzcocks..." (www.lexpress.fr)

Electro-world

Avec une formation lyrique classique, soprano, Adèle Belmont originaire de la Martinique, née à Paris, se produit régulièrement à l'Opéra National de Paris et donne de nombreux récitals et spectacles. Mais c'est dans un jazz teinté de couleurs world qu'elle s'épanouit. Sa voix pleine de couleurs, de puissance, de romantisme et d'émotion lui a permis de faire de nombreux concerts de gospels aux Etats-Unis. En quartet, Adèle Belmont puise dans ses racines créoles et ses influences jazz (Miles Davis, Sarah Vaughan...) et se joue des clichés à travers des envolées lyriques, des rythmes jazz, caribéens, gospel, pour nous offrir un album sensible et explosif d'une grande liberté artistique.

Indie pop

Le 1er volume de la série des compilations Shaolin soul, sorti en 1998, présentait une vingtaine de morceaux soul samplés par RZA du Wu-Tang Clan. Le second proposait un mix tout aussi éclectique, avec une sélection allant des Jackson 5 aux Mad Lads en passant par Teddy Pendergrass et Labi Siffre. Sorti en 2014, le volume 3 privilégiait le son sudiste façon "Papa" Willie Mitchell, artiste et producteur du label Hi Records, la maison d'Al Green et Ann Peebles. Puis ce fut le silence pendant quatre ans. Le temps pour Uncle O, créateur du concept, de concocter une digne suite à cette magnifique trilogie avec un quatrième épisode riche de 22 titres !

"Qu'elles aient l'air canaille ou la présence majestueuse, elles enflamment les églises, les théâtres et bouleversent le cœur et l'âme de chacun. Les plus grandes voix féminines du gospel sont ici réunies pour la première fois / Patrick Frémeaux" (www.fremeaux.com)

"... Les textes dÂ’Hoshi confirment une chose, il est encore possible de sÂ’amuser avec la langue française en usant et abusant des jeux de mots, allitérations et autres figures de style bien trouvée. Autre point positif Hoshi a banni la pratique du franglais qui consiste à mélanger parole en français et en anglais dans la même chanson. Pratique ridicule qui sÂ’est largement répandu dans la variété française ses dernières années au point quÂ’il me devient impossible dÂ’écouter certains artistes qui font preuve, selon moi, dÂ’une fainéantise dÂ’écriture. En rompant avec cette mode Hoshi apporte un souffle dÂ’air frais à la scène musicale française... / Roadreader" (culturevsnews.com)

"... Ce CD nous offre donc bien l’intégrale de Robert Ballinger. Il ne manque qu’une chose : la photo du Révérend qui semble ne pas exister d’après les spécialistes les plus pointus, mais je suis persuadé qu’elle surgira un jour du néant comme les photos de Robert Johnson, car les années 60 ne sont pas si loin finalement et cet artiste s’est beaucoup produit dans la région de Detroit et à Chicago et il doit bien en rester des traces. Les notes très complètes de Bill Dahl complètent admirablement ce recueil. Né en 1921 à Cincinnati, Ohio, où il fréquente la fameuse Church of God in Christ, il part pour Detroit puis s’installe à Chicago. Robert Ballinger décéda le 13 octobre 1965 de causes inconnues... C’est une débauche d’énergie, aussi bien vocalement qu’au piano. Sans doute est-il excellemment soutenu par la contrebasse de Willie Dixon et la batterie d’Odie Payne, plus un superbe quartette vocal (inconnu ! bien que nommé Gospel Chimes sur certaines discographies) sur certains titres... / Marin Poumérol" (www.absmag.fr)

Joan As Police Woman est de retour avec un album collaboratif avec Dave Okumu et le batteur et légende de l'afrobeat Tony Allen, récemment décédé. A propos de ce projet, Joan As Police Woman déclare : "Damon Albarn m'a présenté à la légende de l'afrobeat, Tony Allen, lors de l'événement Africa Express 'The Circus' en mars 2019 et nous avons sympathisé. Tony et moi avons joué une version de I Wish I Knew How It Would Feel To Be Free de Nina Simone et avons décidé d'enregistrer ensemble. J'ai demandé à mon vieil ami et musicien Dave Okumu de nous rejoindre depuis Londres, dans un studio parisien, nous avons improvisé toute la nuit.. Lorsque le monde s'est arrêté, j'ai utilisé ces enregistrements pour écrire cet album intitulé The Solution Is Restless."

Cette compilation propose 1 CD bonus du groupe Hijaz "Chemsi"

Quoi qu’on dise, Acid Arab a marqué l’histoire. Le collectif réussit à nous faire danser en mêlant electronica de l’Occident et musiques orientales pour un mélange absolument irrésistible. Et ils continuent de le faire avec leur successeur tant attendu du nom de Ù£ (Trois).
Mettant un terme de quatre années et demi d’absence, Acid Arab redémarre la machine pour notre plus grand bonheur. Ici, le collectif franco-algérien qui avait mis la barre haute avec Jdid (chroniqué ici) arbore des chemins un brin plus groovy que d’habitude. Et c’est d’autant le cas dès le début avec « Leïla » en compagnie de Sofiane Saïdi où l’électrorientale du collectif fait toujours un malheur tout comme les très funky « Döne Döne » avec Cem Yildiz et « Halim Guelil » conviant Cheb Halim.

Nombreux musiciens et invités détaillés sur le livret (Faada Freddy, Gabriel Yacoub, ...)

"Ce quatrième album de Web Web est une grande oeuvre de jazz spirituel - parfois flottante, parfois émouvante, toujours intense et un magnifique hommage au jazz du début des années 70. Roberto Di Gioia, tête pensante de Web Web, est accompagné pour la première fois par Max Herre en tant que compositeur, musicien et producteur. Tous deux se sont réunis avec de grands musiciens tels que Mulatu Astatke, Brandee Younger, Charles Tolliver (Strata East) et d'autres pour livrer un chef-d'oeuvre virtuose..." (modulor-records.com)