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"Chimène Badi nous revient avec un sixième album studio : "Au delà des maux". Un album pop, soul, intime, universel et profond ! Ce nouveau disque est porté par le titre que vous avez pu entendre sur nos antennes : "Elle vit". Pour l'occasion, Chimène est à l'honneur ce week-end sur France Bleu !Un nouveau disque, 12 chansons... Un album personnel, cher à l'artiste qui se raconte plus encore dans ce sixième album : " C'est un album hyper honnête, très sincère, parce que je me suis livrée. J'ai voulu parler de choses importantes. J'ai 33 ans et plus 18.[...] J'ai vécu des choses ces trois-quatre dernières années et j'ai eu besoin que ça sorte. Et c'est cet album qui m'a permis tout ça"... / Benjamin Jacquot" (www.francebleu.fr)

Chanteuse, flûtiste, auteure, compositrice et arrangeuse franco-japonaise, Maïa Barouhest une artiste unique, mélangeant les chants ancestraux japonais avec du rap, groove, electro et chanson avec une grande liberté. Avec sa grande expérience de la scène, sa folie, son énergie volcanique et sa musicalité sans frontières, elle nous emmène au coeur de ses racines. "Aïda" veut dire "entre" en japonais. Entre la France et le Japon, entre sons modernes et ancestraux... Composé, écrit, arrangé, produit par Maïa Barouh sur plusieurs années, le résultat est brut, aéré, profond, mais aussi décalé, drôle et parfois grinçant. Les sons et paroles évoquent son univers riche, entre la folie du Tokyo underground, le groove de la musique du monde, le chant folklorique, le rap et les sons électroniques... Un album rare, profondément métissé, qui vacille entre racines et modernité.

Textes des chansons

Né dans une famille de musiciens, élevé dans la ville judéo-chrétienne-musulmane de Jaffa, Itamar Borochov a toujours entretenu cette richesse d'influences : Edith Piaf, Weather Report, Nusrat Fatah Ali Khan ou Prince ont posé les bases d'une ouverture musicale salutaire. Son initiation ne fut complète que lorsqu'il entra dans la synagogue Séfarade du quartier : il y absorba la musique sacrée fondée sur les gammes arabes et nourrie de cette tradition juive séculaire. Son immersion dans l'héritage jazz new-yorkais au milieu des années 2000 achèvera de le convaincre. Après l'album Boomerang (2016), encensé par la critique, Itamar expose une fois encore ce qu'il sait faire de mieux : invoquer ses talents de mélodiste affirmé et de musicien habité par un esprit supérieur. Si son passé hard bop ressort parfois dans la structure des compositions, ce nouveau voyage proposé par Itamar Borochov (trompette), son frère Avri (contrebasse), Rob Clearfield (piano) et Jay Sawyer (batterie) nous fait pénétrer dans un espace si profond, si dense, que l'on se retrouve aspiré par tous ces appels de la tradition et cette musique si actuelle.

Chanson jazzy-reggae

Il « cubanise » la 7e Symphonie de Beethoven, fait danser Mozart sur un guaguanco de tous les diables ou joue un prélude de Chopin comme une rumba percussive, en frappant les cordes dans les entrailles de son piano. à travers ses Caribbean Nocturnes, le pianiste passe à la moulinette latino les grands airs populaires de la musique classique, sans craindre d’en faire trop, avec un punch terrible qui assure un show divertissant. Anne Berthod (Télérama 09/2022)

Le "Chamuyo" est l'art argentin du verbe, l'art de convaincre, de séduire l'autre. Subtile et malicieuse, cette pratique peut nous prendre à notre propre piège. C'est en ce sens que le groupe à décidé de prendre l'époque à contre-courant en proposant une démarche unique loin du tango d'antan.

"Jarvis Cocker nous gâte. Un peu plus d'un an après l'excellent Beyond The Pale de JARV IS..., nous avons droit à un nouvel album. D'un naturel plutôt lent, il nous fallait généralement attendre plusieurs années entre deux de ses productions. Dans le cas de Chansons d'Ennui Tip-Top, l'ex-chanteur de Pulp a dû parfaire son français, mais il n'a pas eu à écrire les morceaux puisqu'il ne s'agit que de reprises de la chanson française des années 60. Jarvis, qui a étudié le cinéma à la Saint Martin's School Of Art, vécu à Paris et toujours eu un goût marqué pour les années 60s, ... / Jean-Christophe Gé" (www.soundofviolence.net)

"Natif des Ardennes (zone économiquement sinistrée), Eric Frasiak nÂ’est pas exactement un chanteur à succès. En près de trente ans de carrière, il a pourtant publié neuf albums, celui-ci inclus. Après un live capté à Bar-le-Duc, le voici qui rend à présent un hommage sensible à sa ville de cÂœur, Charleville-Mézières. Laquelle (comme Patti Smith et Bob Dylan ne lÂ’ignorent pas) fut par ailleurs le berceau dÂ’un certain Rimbaud. Et si lÂ’on devine sans peine ce qui put inciter le jeune Arthur à sÂ’échapper de ce morose chef-lieu, les mots dÂ’Eric pour lÂ’évoquer ravivent la nostalgie universelle de nos adolescences, elles aussi enfuies. Voire carrément enfouies, comme en témoigne le lapidaire Ủn Gros Coná (dans le veine du Renaud des débuts). Fidèle à ses premières amours, Frasiak demeure sans conteste lÂ’un des plus crédibles héritiers du regretté François Béranger, comme en attestent ici les sincères àMon Anarchieá, Ủn Truc Comme Caá et àBure Sur Atomeá, ou encore sa reprise de àLÂ’Espoirá de Michel Bühler. Comme Béranger, Eric Frasiak sÂ’avère également capable de savoureuses vignettes sur notre quotidien (àChatá), comme d'(auto)portraits aussi pertinents que drôles (àTango Pressioná, àRhinovirusá, àLes AujourdÂ’hui Qui Chantentá), ainsi que de belles fulgurances poétiques (àNovembreá, àComme Un Eclairá, Ủn Faisan Sur Ma Fenêtreá). Entre steel-guitar, accordéon, guitares électriques et manouches, un album de haute tenue, tant sur le plan des textes que des arrangements, qui se referme sur une émouvante reprise de àLÂ’Age dÂ’Orá de Léo Ferré... / Patrick Dallongeville" (www.paris-move.com)

"Le chanteur de variétés qui figure parmi les plus populaires de France a prévenu : après lÂ’album qui sort ce vendredi, et après la tournée qui lÂ’emmène en ce moment sur les routes du pays, il arrêtera la chanson. Pour les fans du chanteur, ce 25e album, intitulé Le choix du fou, est donc la dernière occasion de découvrir de nouvelles chansons. Cela faisait sept ans que Michel Sardou nÂ’avait pas sorti dÂ’album, depuis Ẻtre une femme 2010á et son remix (plus ou moins réussi) du tube Ẻtre une femmeá. Après une tournée de ses plus grandes chansons et deux pièces de théâtre, lÂ’interprète de àLa Maladie dÂ’amourá revient avec dix chansons inédites, et une nouvelle équipe : Jacques Veneruso, qui avait composé les deux derniers albums du chanteur, est absent de ce nouvel opus... / Julien Baldacchino" (www.francebleu.fr)

Pour beaucoup, le style du guitariste, chanteur et compositeur malien reflète et dépasse l'héritage durable du légendaire Ali Farka Touré, dont il était l'un des protégés. Enregistré lors de visites dans son Mali natal, son deuxième album est un bond de géant pour le bluesman malien. Le guitariste développe ce mélange très personnel de blues africain, de thèmes traditionnels et d'influences occidentales. Combinant les riffs acérés avec un chant et des harmonies vocales sensibles, Touré rend hommage au Mali en développant le thème de la paix et de l'unité, tout en écrivant plusieurs titres en hommage à sa famille et ses proches.

Folk acoustique

La diva brésillienne revient ici avec un album immense, entre sonorités hip hop, reggae et baile funk !

"C‘est en 1980 que Christian Oller entend par hasard une chanteuse, lors d’un reportage de FR3 à Saint-Symphorien-de-Mahun. « Au sortir d’années d’enquêtes, raconte-t-il, cela m‘a tout de suite interpellé et renvoyé à d‘autres grandes chanteuses traditionnelles que j’ai eu la chance de croiser ». De là, débute un véritable intérêt pour ces « dames d’Ardèche » qui ont perpétuée au fil des ans leurs impressionnant répertoire. Ce sont ces enregistrements, collectés au grès de ses pérégrinations, que nous vous proposons de découvrir dans ce CD évènement !" (www.phonolithe.fr)

Le ténor américain Scott Hamilton est le digne héritier d'une longue lignée de saxophonistes swing qui fait le lien entre la grande histoire du jazz et le présent et qui participe activement à faire revivre et perpétuer la tradition. Il existe une interdépendance évidente entre un artiste et son répertoire. Cela a toujours été le cas, et reste vrai pour Hamilton. Selon lui, une bonne chanson est fondamentale pour l'expression de son art. Il est tout autant capable de sélectionner bon nombre de standards accessibles que de retrouver la même qualité intemporelle dans des oeuvres venues d'ailleurs et de temps différents.

Electro-dub-dance

Noisy pop, noisy rock, indie rock

JÂ’aime décrire ces personnages en quelques traits. Je nÂ’aime pas trop jouer avec la langue, les effets de style. Un bon texte est celui qui évoque des images, qui fait ressentir des sensations physiques. Quand je parle de ce garçon qui croque de la glace pilée, jÂ’aimerais quÂ’on la sente sous la dent. Si ces personnages me ressemblent ? CÂ’est moi qui vais les chercher, qui les fais vivre. Il faut quÂ’ils soient solubles en moi. Je peux parler plus facilement dÂ’un garçon anguleux et tourmenté que dÂ’un champion de bodybuilding. » (https://www.lemonde.fr)

Chansons de variétés (musique prédominante)