Plus rien n'arrête le regard de Marie ou presque. Ce jour-là, des hommes en haillons sont postés près du Monoprix; sans savoir pourquoi, elle pénètre dans la tente, se joint aux bénévoles pour servir des repas à ceux qu'on appelle les ''Kosovars". Négligeant sa famille, indifférente aux attentions de son mari, à la tendresse de ses enfants, Marie se consacre à la survie de ces hommes en perdition.